D’imposteur à légitime : adoptez la posture de l’aventurier et bâtissez votre audience

Vos doigts sont suspendus au-dessus du clavier, prêts à créer, quand cette petite voix vous murmure : "Pourquoi moi ? Qu’est-ce que je propose de différent ? Qu’est-ce qui me rend légitime ? Les autres font déjà tellement mieux."

Cette petite voix qui fait hésiter et reculer, tous les entrepreneurs l’ont entendue.

Et cette petite voix est tellement connue que les scientifiques l’investiguent depuis au moins 1978 quand deux psychologues, Clance et Imes, publièrent la première étude mentionnant le désormais notoire “syndrôme de l’imposteur”.

Dans cette enquête pionnière, Clance et Imes analysent le sentiment d'illégitimité de femmes issues de minorités aux Etats-Unis.

Ils remarquent que ces femmes souffrent d’un cruel manque d’auto-valorisation. Elles peinent à s’attribuer les mérites de leurs actions, à apprécier leurs réussites et tendent à s’auto-censurer.

Cette étude est intéressante car si vous tapez “syndrome de l’imposteur” dans votre moteur de recherche, vous trouverez une définition édulcorée et individuelle – une définition dans la veine de “le syndrome de l’imposteur est cette conviction, souvent irrationnelle, de ne pas être à la hauteur”.

Cette définition est pernicieuse car elle focalise le sujet sur l’individu, donc sur vous. Ce serait donc de votre faute si vous vous sentez illégitime.

Alors que ce que mettent en lumière nos deux psychologues, c’est justement que le “syndrome de l’imposteur” n’est pas une faiblesse personnelle.

Se sentir comme un imposteur relève d’un mélange de raisons :

• Psychologiques : notre constitution psychique, qui se construit notamment à l’enfance et à l’adolescence ;
• Biographiques : les événements qui nous arrivent, et qui nous font évoluer ;
• Structurelles : notre environnement politique et économique, que nous ne maîtrisons pas, nous affectent et engramment en nous comportements et croyances.

Se sentir illégitime d’entreprendre et d’oser sortir du cadre de l’emploi fait partie, en France, de cette structure extérieure qui nous détermine.

Cela signifie que ce n’est pas une faiblesse de ressentir des doutes et de peiner à dépasser le stade de débutant quand on est adulte.

L’excellente nouvelle, c’est qu’une fois qu’on saisit ce sur quoi on a prise, il est possible de dépasser son sentiment d’imposture. C’est même une étape dans la vie de toutes les entrepreneures, artistes et athlètes.

Pourquoi est-ce important d’en parler aujourd’hui ?

Parce que ce doute n’est pas juste un obstacle mental, il impacte concrètement trois piliers essentiels de votre vie :

• Santé mentale : Le stress constant de "ne pas être assez bien" peut vous épuiser, alimenter des angoisses et miner votre confiance ;
• Carrière et business : En hésitant à vous affirmer, vous passez à côté d’opportunités professionnelles, de collaborations et de reconnaissance ;
• Sécurité financière : En ne valorisant pas ce que vous savez ou ce que vous êtes capable de faire, vous laissez de côté une source de revenus potentiels, stable et gratifiant.

Dans cette édition, vous découvrirez :

1. Les origines et mécanismes du syndrome de l’imposteur, et pourquoi il vous freine ;
2. Des stratégies pour le contourner et transformer ce doute en moteur d’action ;
3. Des outils pour bâtir une communication claire et confiante autour de ce que vous savez et offrez.

L’objectif ?

Vous permettre de dépasser cette paralysie pour vous affirmer, non pas comme parfait, mais comme authentique et légitime.

Cette édition est rendue possible grâce à notre partenaire Learnybox.

Learnybox est une plateforme tout-en-un qui aide les créateurs, freelances et entrepreneurs à structurer, vendre et diffuser leurs formations en ligne.

Que vous soyez au début de votre aventure ou prêt à passer à la vitesse supérieure, Learnybox est l’outil idéal pour transformer vos idées en revenus concrets.

Découvrez comment Learnybox peut vous accompagner dans votre projet en cliquant ici.

L’impuissance apprise – Pourquoi vous vous sentez bloqué

• Le conditionnement : Un mécanisme invisible mais puissant

En salle de classe, lever la main pour répondre à une question bien souvent avec la peur de se tromper.

Rappelez-vous votre estomac se nouer et votre gorge se serrer alors que vous alliez prendre la parole devant toute la classe.

Les bonnes réponses étaient récompensées, les erreurs souvent accompagnées de ricanements ou d’un regard sévère du professeur.

Avec le temps, vous avez appris que votre valeur était mesurée par une validation extérieure, venue des autres. Lorsque vous envisagez de publier un contenu, le même type de sentiment émerge.

C’est comme si vous étiez de retour au lycée, quand tout le monde juge tout le monde.

Publier ce post vous donne l’impression que votre réputation est en jeu, voire même que votre identité est en danger.

Ce conditionnement à chercher une validation extérieure, qui vient par le “like” sur les réseaux, risque de vous enfermer dans un cercle vicieux, où chaque hésitation renforce la peur de l’échec.

Encore une fois, ce sentiment est ultra commun et tout à fait dépassable. Mais ne vous en voulez pas de le ressentir. Les réseaux sociaux sont un lycée à ciel ouvert, et un enfer pour qui a des insécurités.

• La comparaison permanente : Le piège des réseaux sociaux

Vous êtes attablé, prêt à travailler. Mais par réflexe, vous ouvrez Instagram.

Instantanément vous voyez un entrepreneur montrant une facture à six chiffres, une créatrice célébrant ses 100 000 abonnés et une autre racontant son dernier contrat avec une grande marque.

Consciemment ou non, vous vous comparez. Vous vous évaluez en rapport à leur succès, à ce qu’ils mettent en avant. Vous pouvez rationaliser, vous dire que vous vous inspirez – et c’est vrai aussi !

C’est compatible de s’inspirer ET de se comparer.

Mais à la fin des fins, il y a un réel risque à se comparer : vous déterminez votre valeur selon des standards externes.

Et il n’y a rien de pire pour se démotiver et abandonner en cours de route. Alors même que ce que vous voyez sur ces posts n’est qu’une version polie et brillante de leur réalité.

Rappelez-vous comment fonctionnent les réseaux sociaux : vous êtes confronté au plus sensationnel, au plus extrême et au plus farfelu.

Vous ne voyez pas les 10 reels qui n’ont pas marché, les dizaines de posts qui n’ont pas rencontré leur audience ou les contrats non signés.

Vous ne voyez que les “victoires”, et les “victoires” les plus spectaculaires.

Patience, vous aussi vous pourrez poster vos victoires.

Un paradoxe : Les vainqueurs ne sont pas toujours les plus compétents

Vous avez déjà croisé cette situation : un article, un podcast ou une formation avec un marketing impeccable, des titres accrocheurs et une mise en page parfaite.

Prenons l’exemple d’un blogueur culinaire. Ses recettes, simples et basiques, ne rivalisent pas avec celles d’un chef étoilé.

Mais il sait filmer des vidéos engageantes, rédiger des titres irrésistibles comme "La meilleure pâte à crêpes de votre vie (avec seulement 3 ingrédients !)", et il répond à chaque commentaire, créant une communauté active.

La leçon à retenir ? Ce n’est pas sa recette qui séduit, c’est sa capacité à capter et entretenir l’attention. C’est son niveau de vidéaste.

Il n’est pas particulièrement doué en cuisine, mais il est compétent pour se mettre en scène.

• Apprendre des vainqueurs : Analyser leur marketing, pas seulement leur contenu

Vous pouvez faire un pas de côté pour déconstruire comment ils réussissent, et non simplement ce qu’ils créent.

• Exercice : analysez un créateur à succès que vous admirez

Décrivez une de ses publications. Quels éléments rendent ce contenu captivant ?

La réponse réside rarement dans dans ce qui est dit, et souvent dans la manière dont c’est dit.

Pour des exemples concrets de storytelling réussi, l’édition "5 conseils pour créer avec vos contenus le même effet que J.K. Rowling" offre des stratégies précises.

3 tactiques pour construire sa carrière pas à pas

Un principe essentiel : Les compétences valent mieux que la passion.

Suivez votre passion." Ce conseil est si souvent répété qu’il est devenu un lieu commun ; un impensé ; une évidence logique.

Alors que ce “conseil” n’a que peu de rapport avec la réalité. Pourquoi ? Parce que la passion seule ne suffit pas. Et surtout, car maximum 4% des individus vivent de leur passion.

C’est ce que démontre le chercheur Cal Newport dans son ouvrage So Good They Can’t Ignore You.

Il fait émerger 3 critères pour “vivre de sa passion” :

• Il faut avoir une passion (évident, mais rare !) ;
• Il faut que cette passion soit viable économiquement (très rare !) ;
• Et il faut y exceller pour faire partie des professionnels (rarissime).

Nous avons tous les mêmes passions, du sport à l’art. Et c’est pourquoi “suivre sa passion” est toujours un risque d’être un terrible conseil pour construire sa carrière.

D’autant plus que la passion naît souvent après avoir atteint un vrai niveau de maîtrise.

La passion est très souvent le fruit d’une curiosité, qui évolue en intérêt; que l’on cultive dans le temps, avant que, semble-t-il, “tout d’un coup”, nous soyons passionnés.

En somme, personne ne naît passionné, mais tout le monde peut le devenir.

A l’inverse, Cal Newport explique que ce qui crée une carrière épanouissante et réussie, c’est d’abord et avant tout le développement de compétences rares et précieuses.

Imaginez que vous débutez comme graphiste indépendant.

Vous adorez créer des designs, mais vous passez des heures à ajuster vos maquettes sans comprendre comment elles s’intègrent dans une stratégie globale.

Ce qui fera la différence ?

Maîtriser des compétences stratégiques comme la création de visuels qui augmentent les ventes, ou l’optimisation des formats pour les réseaux sociaux.

Et pour le synthétiser en une phrase : nous aimons ce à quoi nous sommes bons, bien plus que nous sommes bons à ce que nous aimons.

Développez une compétence qui attire des clients :

• Identifiez une compétence recherchée dans votre secteur : Regardez les projets demandés sur des plateformes comme Malt ou Upwork. Par exemple, "création de carrousels engageants pour Instagram".
• Investissez dans un apprentissage ciblé : Suivez un cours en ligne (par exemple sur Learnybox ou LiveMentor) ou pratiquez en refaisant les designs de grandes marques pour comprendre leur stratégie.
• Appliquez sur un projet concret : Proposez gratuitement votre service à une petite entreprise ou à un ami entrepreneur, en échange d’un retour d’expérience.

1. Voler comme un artiste : L’art de commencer avec ce que l’on a

Austin Kleon, dans son livre Steal Like an Artist, rappelle une vérité souvent oubliée : aucun créateur ne commence en terrain vierge.

Les grands écrivains, artistes, ou entrepreneurs ont tous puisé dans les idées, les styles et les pratiques d’autres avant de forger leur propre identité.

Vous admirez un créateur de contenu qui réussit ?

Analysez sa façon de structurer ses vidéos, ses articles ou ses formations. Testez des formats similaires dans votre propre travail. Cela ne signifie pas copier, mais s’inspirer pour apprendre les mécanismes qui fonctionnent.

Vous êtes coach pour freelances débutants.

Plutôt que de créer un programme complet dès le départ, vous analysez ce que font d’autres coachs populaires : leurs formats (webinaires, newsletters, templates), leur ton, leur storytelling.

Ensuite, vous testez des variantes adaptées à votre style et à votre audience.

Construisez votre première offre en freelance en vous inspirant de vos modèles :

• Choisissez un domaine précis où vous voulez vous lancer : Par exemple, aider les freelances à négocier leurs tarifs.
• Étudiez 3-5 experts reconnus : Analysez leurs formats de contenu (articles, vidéos), leur structure de message, et les réponses qu’ils reçoivent de leur audience.
• Testez une version simplifiée : Créez un post LinkedIn où vous partagez une méthode que vous avez testée (par exemple : un script pour répondre à "Vous êtes trop cher"). Collectez les retours et ajustez.

Vous n’avez pas besoin de réinventer la roue pour commencer.

Testez, empruntez, adaptez – et petit à petit, vous construirez une voix unique.

2. Devenir un gros poisson dans une petite mare

Plutôt que de viser un marché saturé, l’une des meilleures stratégies pour progresser est de commencer dans un environnement où vous pouvez vous démarquer facilement.

Être un gros poisson dans une petite mare vous permet de construire une expertise reconnue, de renforcer votre confiance, et de gagner en légitimité.

Un freelance en rédaction web pourrait se spécialiser dans les newsletters pour startups SaaS, plutôt que d’essayer d’écrire sur tous les sujets pour tous les clients.

En ciblant cette niche, il peut devenir un incontournable et établir des processus précis.

Trouvez et dominez une niche :

• Définissez une niche alignée avec vos compétences : Pensez à un secteur où vous avez déjà de l’expérience ou un intérêt particulier (par exemple, les marques écoresponsables).
• Identifiez les besoins spécifiques de cette niche : Analysez les problèmes récurrents qu’ils expriment sur LinkedIn ou dans des forums (par exemple : "comment augmenter l’engagement de nos newsletters").
• Créez une offre dédiée : Exposez clairement le problème que vous résolvez (par exemple : "Je crée des newsletters qui transforment vos abonnés en clients.").

Pour aller plus loin, l’édition "Les contenus qui vont vraiment développer votre chiffre d’affaires" explique comment structurer une offre claire et impactante.

3. Changer de ligue : Sauter dans une mare plus grande

Une fois que vous avez atteint une position de force dans votre niche, il est temps de penser plus grand.

Ce processus demande de structurer vos succès et de travailler votre visibilité.

Après avoir dominé le marché local en tant que photographe spécialisé dans les portraits professionnels, vous pouvez élargir votre portée en proposant des services à distance, comme des audits de photo LinkedIn ou des formations pour entreprises.

Passez à une audience plus large

• Documentez vos résultats : Créez un portfolio qui montre vos projets passés, en incluant des témoignages et des chiffres concrets (par exemple : "Mes newsletters ont augmenté le taux d’ouverture de 25 %").
• Réseautage stratégique : Collaborez avec des créateurs ou entreprises influentes dans votre secteur (par exemple : proposez un post invité ou un webinaire).
• Adaptez votre message pour le grand public : Transformez vos offres spécialisées en solutions adaptées à une audience plus large (par exemple : "Comment améliorer votre image professionnelle grâce à des portraits impactants, même avec un budget limité").

Avancer pas à pas, mais avec vision

Construire une carrière ou un projet réussi, c’est une série de petits pas stratégiques :

• Développez vos compétences ciblées ;
• Inspirez-vous des modèles qui fonctionnent et testez ;
• Dominez une niche avant de viser plus grand.

Avec chaque étape, vous renforcez votre expertise et construisez une légitimité durable.

Dans la prochaine section, nous verrons comment adopter la posture d’aventurier pour continuer à avancer avec authenticité et impact.

Assumer sa posture d’aventurier – Avancer avec authenticité

Qu’est-ce que la posture et pourquoi est-elle essentielle ?

La posture, c’est le cadre à travers lequel vous racontez votre histoire et communiquez avec votre audience.

Elle influence ce que vous dites et surtout comment vous le dites.

Imaginez que vous deviez parler d’un sujet clé pour un freelance, comme comment fixer ses tarifs.

Si vous adoptez la posture d’un professeur, vous expliquerez les principes théoriques de la tarification. Si vous êtes humoriste, vous raconterez des anecdotes sur les négociations absurdes ou les propositions farfelues que vous avez reçues.

En revanche, avec la posture d’aventurier, vous partagez vos expériences : comment vous avez commencé avec des tarifs trop bas, appris à valoriser votre travail, et finalement trouvé un équilibre.

Cette posture met en avant votre cheminement et vos apprentissages concrets, ce qui crée une connexion immédiate avec votre audience.

La posture de l’aventurier : Votre force réside dans votre authenticité

Adopter la posture d’aventurier, c’est :

• Vous placer aux côtés de votre audience, en tant qu’allié, et non comme une autorité inaccessible ;
• Montrer que vous comprenez leurs luttes, car vous êtes passé par les mêmes étapes ou que vous les traversez encore ;
• Leur tendre la main pour les guider de A (leur point de départ) à B (leur situation idéale), en partageant vos propres découvertes, astuces et erreurs.

Imaginez un guide de montagne.

Il n’a peut-être pas escaladé tous les sommets du monde, mais il connaît les sentiers, les dangers et les raccourcis. Il avance un peu devant, mais reste proche, pour encourager et soutenir.

Exemples réels :

• Respire : Une femme ordinaire découvre les dangers des déodorants industriels après un problème de santé. Plutôt que de devenir une experte du secteur, elle crée sa propre solution et partage son aventure en toute transparence.
• Sézane : Morgane Sézalory, loin de se poser en entrepreneure révolutionnaire, partage son envie de faire mieux dans le monde de la mode, simplement et avec optimisme. Ses newsletters ressemblent à des lettres d’amie.

Pourquoi cette posture crée une connexion puissante

• Confiance : Votre audience se reconnaît en vous. Vous n’êtes pas un expert distant, mais un pair qui partage les mêmes combats ou passions.
• Sympathie : Votre sincérité crée une relation humaine et chaleureuse. Vous êtes sur la même longueur d’onde.
• Mémorabilité : Les histoires vraies et personnelles résonnent avec votre audience. Elles ancrent vos messages dans leurs esprits.

Comment structurer votre discours d’aventurier

1. Racontez votre déclencheur :"Quand j’ai commencé en freelance, je fixais mes tarifs au hasard. Une fois, un client m’a répondu : ‘C’est tout ? Je pensais que ça coûterait plus cher.’"
2. Identifiez un problème commun :"J’ai réalisé que beaucoup de freelances fixent leurs prix trop bas par peur de perdre des clients."
3. Expliquez pourquoi ce problème vous concerne :"C’est frustrant parce que cela dévalorise votre travail et vous pousse à accepter des projets mal payés qui vous épuisent."
4. Partagez votre engagement :"J’ai donc décidé de m’attaquer à ce problème en testant différentes stratégies pour établir des tarifs justes."
5. Décrivez votre solution :"Voici la méthode qui a fonctionné pour moi : je commence par calculer mon coût horaire minimum en intégrant mes charges fixes, puis je propose des forfaits pour mettre en avant la valeur apportée plutôt que le temps passé."
6. Projetez votre audience dans un avenir meilleur :"Avec cette approche, mes clients comprennent pourquoi je facture ce prix, et je me sens aligné avec la valeur de mon travail."

L’aventurier en action : Créer une communauté engagée

La posture d’aventurier ne consiste pas seulement à partager vos solutions. Elle invite votre audience à vous suivre et à évoluer avec vous.

Very Good Copy, une newsletter sur le copywriting, partage les expérimentations de son auteur. Plutôt que de se présenter comme un expert accompli, il montre son processus d’apprentissage, ce qui inspire et engage ses lecteurs.

Alex Masmej, créateur dans la cryptomonnaie, a construit une communauté en partageant ses découvertes en temps réel : des retours d’événements, des analyses de projets, et des échecs honnêtes.

Un manifeste pour asseoir votre posture

Adopter cette posture demande parfois de formaliser vos valeurs et votre vision.

Créez un manifeste, comme un engagement que vous partagez avec votre audience :

• Personne ne devrait rester coincé dans cette situation"Personne ne devrait sous-facturer son travail par peur de perdre un client."
• Je suis ici pour montrer qu’il est possible de faire autrement"Je suis ici pour montrer qu’il est possible de fixer des tarifs justes et alignés avec votre valeur."
• Nous pouvons résoudre ce problème ensemble"Ensemble, nous pouvons transformer votre carrière freelance en une activité épanouissante et rentable."
• Prenez votre place en tant qu’aventurierÊtre un aventurier, ce n’est pas prétendre tout savoir, mais inviter votre audience à cheminer avec vous. Votre authenticité et votre proximité deviennent vos plus grandes forces pour :
• Éduquer sur des solutions concrètes ;
• Inspirer la confiance et la fidélité ;
• Créer une communauté engagée autour d’un combat ou d’une passion partagée.

Dans cette posture, chaque étape que vous franchissez devient une opportunité de partage et de connexion.

Votre aventure n’est pas seulement la vôtre, elle devient celle de votre audience.

Pour approfondir votre storytelling et développer une marque forte, l’édition "Comment transmettre sa passion" explore des stratégies pour engager votre audience avec authenticité.

Vous n’avez pas besoin d’être parfait pour avancer.

En adoptant la posture d’aventurier, vous transformez vos doutes en force et créez une vraie connexion avec votre audience.

Commencez par un petit pas, partagez vos apprentissages, et bâtissez votre projet un geste à la fois.

Rappelez-vous : chaque aventure débute par une action. Alors, qu’allez-vous faire aujourd’hui pour avancer ?

Et si cette action était de structurer votre projet grâce à Learnybox ?

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Rendez-vous dans deux semaines pour un prochain épisode,

La rédaction

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